Le blanc est à la fois quête esthétique, poésie et mystère pour rencontrer, pénétrer, découvrir l'infini.
Parfois le blanc rejoint le noir par opposition des compléments : le carré rencontre le cercle, le fond et la forme se confondent, matière ou non matière se répondent. La déchirure, elle-même devient construction et détournement de son premier.
Puis le blanc se fait volume, les formes d'abord imprécises, parlent de plus en plus de l'humain face au monde, au cosmos, à la naissance de la vie.
La quête remonte le temps pour comprendre le présent du blanc, de la pureté et de la connaissance de soi : ascendance/descendance/présent pour partager l'émotion du moi.